Pierre LE DUIGOU est le responsable consolidation du groupe REDELE
Pouvez-vous préciser le cadre de votre collaboration avec le cabinet ?
L’origine de ma relation avec RECCI (anciennement SAE) date de 1983. Ceci dans le cadre de sa mission de Commissaire aux comptes d’un établissement du groupe auquel j’appartenais à l’époque.
Evoluant dans le groupe, j’ai pris la responsabilité de la comptabilité de la holding et, à ce titre, établis les liasses fiscales de chaque entité ainsi que les liasses groupe (filles et mère).
La relation avec le CAC s’est ainsi trouvée « renforcée ».
Quelle est selon vous la plus-value du cabinet dans sa mission d’audit légal ?
La proximité, non pas géographique, mais de vision du groupe – cette proximité devenant par moment une certaine complicité, tant la vulgarisation de textes semblant absconds les rendent lumineux.
Quels sont les chantiers futurs pour lesquels vous ferez certainement appel au cabinet ?
La poursuite de la relation dans le cadre de sa mission de CAC, ainsi que des demandes ponctuelles, surtout dans la compréhension de nouveaux textes législatifs.
Quels conseils donnez-vous aux entrepreneurs dans leur choix d’un expert-comptable / de commissaire aux comptes ?
La confiance – réciproque. Le CAC valide les comptes au vu des éléments fournis par le client – ce dernier doit être transparent avec son CAC afin d’éviter tous les écueils mis sur sa route. Un bon CAC ne pourra être totalement efficace qu’avec une pleine connaissance de l’entreprise, non seulement au niveau des chiffres mais aussi de l’atmosphère, que cette dernière soit sociale ou vis-à-vis des intervenants extérieurs.