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Interview de Muriel TALLANDIER, dirigeante du groupe ALMA MATER, éditrice du magazine FOU DE PATISSERIE

Muriel TALLANDIER est présidente du groupe PRESSMAKER

Pouvez-vous préciser le cadre de votre collaboration avec le cabinet ?

J’ai commencé la collaboration avec RECCI (auparavant SAE) sur les conseils de mon avocat en 2012, alors que je créais une nouvelle société d’édition de presse magazine. Ils m’accompagnent depuis pour tout le suivi comptable et bilan de cette société ainsi que les nouvelles que j’ai créées depuis (3). Par ailleurs, nous avons été amenés au cours de ces 5 années à travailler sur des sujets spécifiques / stratégiques liés en particulier à la structuration de la holding du groupe. Recci s’occupe aussi depuis 2016 de mes déclarations personnelles en tant que dirigeant TNS de ces sociétés.

Sur quel point, hors tenue de compte, avez-vous fait appel aux expertises le cabinet ?

Outre les tenues de compte, le cabinet nous accompagne dans les missions juridiques liées à la création des nouvelles sociétés, mais également sur les missions liées à l’embauche de nouveaux salariés (déclarations, déclinaisons de contrats…), l’élaboration des payes. Nous avons également imaginé ensemble, en collaboration avec notre avocat d’affaires, la structuration des différentes sociétés sous forme de groupe avec création d’une holding, ainsi que l’organisation des acquisitions de bien immobilier professionnel.

Quelle est selon vous la plus-value du cabinet dans le conseil qu’il vous apporte ?

Le sérieux de son management, la connaissance fine de tous les dispositifs et lois finance, la capacité à comprendre les marchés sur lesquels on évolue ainsi que leurs particularités. Une vision 360 intégrant tous les aspects, comptable / juridique

Quels sont les chantiers futurs pour lesquels vous ferez certainement appel au cabinet ?

Tout ce qui reste à faire en terme d’organisation globale du fonctionnement des structures entre elles, l’accompagnement du développement, l’étude et la mise en place de produits financiers à destination des collaborateurs.

Quels conseils donnez-vous aux entrepreneurs dans leur choix d’un expert-comptable ?

Sans parler évidemment du nerf de la guerre c’est à dire du sérieux, de la discrétion et compétence techniques des équipes, veillez à ce que le management connaisse votre secteur ou soit en capacité de vite le faire ; que les personnes intervenant opérationnellement sur vos affaires en comprennent également les tenants et aboutissants. C’est essentiel pour éviter les erreurs et pouvoir accompagner globalement et de façon intéressante les dirigeants face aux problématiques qui se posent à) eux. Une grande écoute est nécessaire aussi, ainsi que de la réactivité. SI ces caractéristiques ne sont pas réunies, fuyez !

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Interview de Pierre LE DUIGOU, responsable comptable et responsable consolidation.

Pierre LE DUIGOU est le responsable consolidation du groupe REDELE

Pouvez-vous préciser le cadre de votre collaboration avec le cabinet ?

L’origine de ma relation avec RECCI (anciennement SAE) date de 1983. Ceci dans le cadre de sa mission de Commissaire aux comptes d’un établissement du groupe auquel j’appartenais à l’époque.
Evoluant dans le groupe, j’ai pris la responsabilité de la comptabilité de la holding et, à ce titre, établis les liasses fiscales de chaque entité ainsi que les liasses groupe (filles et mère).
La relation avec le CAC s’est ainsi trouvée « renforcée ».

Quelle est selon vous la plus-value du cabinet dans sa mission d’audit légal ?

La proximité, non pas géographique, mais de vision du groupe – cette proximité devenant par moment une certaine complicité, tant la vulgarisation de textes semblant absconds les rendent lumineux.

Quels sont les chantiers futurs pour lesquels vous ferez certainement appel au cabinet ?

La poursuite de la relation dans le cadre de sa mission de CAC, ainsi que des demandes ponctuelles, surtout dans la compréhension de nouveaux textes législatifs.

Quels conseils donnez-vous aux entrepreneurs dans leur choix d’un expert-comptable / de commissaire aux comptes ?

La confiance – réciproque. Le CAC valide les comptes au vu des éléments fournis par le client – ce dernier doit être transparent avec son CAC afin d’éviter tous les écueils mis sur sa route. Un bon CAC ne pourra être totalement efficace qu’avec une pleine connaissance de l’entreprise, non seulement au niveau des chiffres mais aussi de l’atmosphère, que cette dernière soit sociale ou vis-à-vis des intervenants extérieurs.